La solidarité : classe des CP de Julie.

Lors de cette deuxième séance, Stéphanie commence par raconté une histoire (et c’est drôle car il y a des flocons de neige qui tombent en ce 1er avril).

« L’histoire que je vais vous lire, c’est Le Noël de Balthazar d’Emma Kelly et de Marie-Hélène Place. »

https://www.youtube.com/watch?v=n90omxXXm8M

« Pourquoi M. Merlin est-il parti si rapidement ? »

  • Merlin est joyeux parce qu’il a redonné les cadeaux les plus précieux à des meilleurs amis.
  • Il est joyeux peut-être aussi parce que ce sont des amis. Comme ils étaient tristes, il leur a donné.
  • Il est parti triste. Il voulait rester mais il avait un truc à faire et il a du partir.
  • Il rend les gens heureux pour être heureux.
  • Un ami c’est plus important que le plus beau des cadeaux.

Sur cette phrase, la séance se clôture et la dessinatrice vient présenter ce qu’elle a entendu de la discussion :

Pour débuter la deuxième séance, les élèves rappellent l’histoire « Le Noël de Balthazar ».

  • Un ami ça passe avant les jouets.
  • Ils ont donné leur jouet le plus cher car ils préfèrent leur ami.

« Sans cadeaux, seraient-ils restés amis ? »

  • Ils vont être toujours amis car au début ils étaient amis même sans cadeau.
  • Pour eux, l’important c’était acheter un cadeau à l’autre.

« Et si un des deux n’avaient pas acheté de cadeau ? »

  • C’est injuste car l’un des deux n’aura rien.
  • Ils ne peuvent pas rester amis ? »

 » Donc on doit donner un cadeau quand on reçoit un cadeau ? »

  • Oui on doit.
  • Non, c’est pas obligé.

« Et pourtant M. Merlin a rendu les cadeaux et n’a rien attendu en retour ».

  • Oui mais ils a senti que Balthazar et Pépin étaient tristes.
  • Mais comment il peut le savoir?
  • M. Merlin c’est peut être le Père Noël.
  • Et le Père Noël il voit tout.

« Balthazar et Pépin étaient vraiment tristes quand ils ont reçu leur cadeau ? »

  • Non recevoir un cadeau ça donne de la joie.
  • Et M. Merlin étaient joyeux.
  • Peut-être que M. Merlin est parti car il avait des gens qui attendaient dans son atelier.

Sur cette dernière phrase, le président clôture la séance.

Notre dessinateur raconte…